Des ventriloques conçurent pour la scène des numéros articulés autour de cette « inquiétante étrangeté » que dégageaient certaines voix à la radio. Reprenant à leur compte les vieux démons du spiritisme délaissés un siècle plus tôt, ils prétendaient retrouver les voix de chers disparus ou autres fantômes en déshérence qui, entre deux fréquences de la radio, cherchaient à se faire entendre ici-bas. 

Affiche de 1923